S’appuyer d’abord sur ses forces

Je fais partie de l’école qui encourage plutôt les uns et les autres à commencer par s’appuyer sur leurs forces plutôt que par travailler leurs fameux « axes d’amélioration ».

À mon sens, cela a plus d’impact, plus rapidement.

Cela ne veut pas dire qu’il ne faut pas chercher à progresser sur des sujets où l’on est moins bon.

Mais en entreprise, je remarque que l’on cherche souvent à accompagner les collaborateurs à travailler leurs faiblesses plutôt qu’à réfléchir avec eux à comment capitaliser sur leurs talents.

Un salarié est un excellent médiateur ? Pourquoi ne pas l’encourager s’il le souhaite à aider à désamorcer des conflits dans d’autres équipes ou à suivre une formation sur le sujet ?

Un autre adore prendre la parole en public ? Pourquoi ne pas l’envoyer faire rayonner l’entreprise à des évènements externes ?

En général, on aime faire des choses quand on est bon pour les faire.

Il y a du talent en chacun de nous.

Ce serait dommage de laisser dormir ces talents même s’ils ne sont pas directement liés à sa mission principale, non ?

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