Le droit à l’erreur

Encore aujourd’hui, il est souvent difficile en entreprise de reconnaître s’être trompé.

Process de validation sans fin, reporting, contrôle, évaluation… lorsqu’elles sont poussées à l’extrême, ces pratiques inhibent les prises de décision et génèrent la peur d’assumer et de communiquer sur ses échecs.

Pourtant, ancrer le droit à l’erreur dans la culture de son équipe est très vertueux.

Plus de créativité, d’audace, d’innovation, d’autonomie, de transparence, de confiance, meilleur partage d’expériences, moins de stress…

S’il est bien organisé, le droit à l’erreur est selon moi l’une des clés pour générer plus de coopération et rebattre les cartes de la relation avec son manager.

Voilà comment on fait rimer erreur avec motivation et non sanction.

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